La santé physique joue un rôle important. Le sommeil, l’alimentation et l’activité physique sont à la base de la résilience mentale. La fatigue chronique et une mauvaise santé réduisent le seuil de résistance au stress. Les personnes résilientes prennent soin de leur corps comme d’une ressource.
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La capacité à apprendre de l’expérience est un autre signe de résilience. Au lieu de se blâmer ou de blâmer les autres, on se pose des questions : « Que puis-je apprendre de cela ? Comment puis-je être plus fort la prochaine fois ?» Cela transforme l’échec en leçon et la crise en moment de croissance.
Développer sa flexibilité de pensée permet de s’adapter rapidement. Les personnes résilientes ne s’accrochent pas à des plans, mais sont capables de changer de stratégie. Elles perçoivent le changement comme un défi et non comme une menace.
La psychothérapie, le coaching et les groupes de soutien sont des ressources utiles pour développer la résilience. Ils aident à repenser les traumatismes, à renforcer la confiance et à élaborer des stratégies d’adaptation saines.
Il est important de comprendre que la résilience ne signifie pas qu’une personne ne souffre pas. Elle pleure, a peur, se fatigue. Mais elle n’abandonne pas. Elle sait qu’après la tempête, il y aura le silence.
Ainsi, la résilience n’est pas l’absence de douleur, mais la capacité à la surmonter. C’est une compétence qui se construit jour après jour, par de petits choix : se relever après une chute, faire confiance, trouver du sens à sa vie, prendre soin de soi. Et c’est là que réside la force de surmonter toutes les épreuves.
